Il fait partie d'une collection consacrée aux plus grands super-héros de l'univers de DC Comics (il y a cinq volumes), signée par le scénariste Paul Dini et le dessinateur Alex Ross. Chaque album de cette collection propose une histoire entièrement indépendante et "Vérité triomphante" ne fait pas exception.
"Spirit of Truth" a été réédité par SEMIC, mais au format presse (avec la même couverture), dans le "Spécial DC" nº15 d'août 2002, sous le titre "L'Esprit de vérité" (soixante-quatre pages).
Wonder Woman se rend dans un pays d'Amérique latine. Des terroristes ont pris des membres du gouvernement en otage. Il sne demandent aucune rançon et toute négociation semble inutile. Wonder Woman comprend qu'il s'agit d'une une action visant à déstabiliser le gouvernement, à soumettre le pays et que les otages vont être exécutés. Elle intervient et met rapidement les terroristes hors d'état de nuire avant de repartir.
Dans son avion invisible, elle réfléchit à la façon dont elle affronte les différentes formes de crime, le braconnage, l'esclavagisme moderne, les criminels costumés, et comment elle intervient sur les lieux d'accidents et de désastres pour empêcher le pire et apporter de l'aide à ceux qui en ont besoin.
Ayant besoin de réconfort, elle rentre à Themyscira profiter de quelques instants de sérénité. Elle se prend à souhaiter que le monde des hommes ressemble davantage à son île, là où l'harmonie entre nature et technologie et entre corps et âme a été atteinte. Elle souhaite que son rôle d'ambassadrice aide les hommes à s'améliorer. Elle va consulter sa mère, mais la reine Hippolyte porte un regard critique sur les hommes et leur monde.
Wonder Woman repart vers le monde des hommes. En Asie, une révolte pour les droits civiques éclate dans un pays dirigé par un gouvernement autocratique. Wonder Woman intervient en tant qu'ambassadrice, mais les dirigeants politiques lui demandent de quitter le pays. Alors qu'elle est sur le point de protester, son attention est attirée par des bruits venant du dehors ; les chars d'assaut avancent sur la foule...
Comme dans les autres histoires de cette collection, le personnage principal est confronté à un problème qu'il ne peut régler avec ses poings. Wonder Woman, malgré sa volonté de bien faire, se heurte à l'incompréhension, à la méfiance et parfois à l'agressivité de ceux qu'elle veut sauver. Réalisant que ses méthodes ne fonctionnent pas, Diana va demander conseil à Clark Kent (c'est la seule histoire de cette collection où un autre super-héros apparaît) et comprendre que se fondre parmi les hommes pour mieux les comprendre va lui permettre de continuer son combat pour la vérité.
La Wonder Woman de Ross, inspirée de l'actrice Lynda Carter, est magnifique. L'histoire (peut-être au détriment des émotions) met en avant le côté divin de la super-héroïne, notamment grâce à des plans rapprochés et des doubles pages époustouflantes (il faut la voir soulever un char d'assaut !). Les décors de l'île de Themyscira sont splendides. La dernière double page est d'une beauté à couper le souffle.
Wonder Woman se rend dans un pays d'Amérique latine. Des terroristes ont pris des membres du gouvernement en otage. Il sne demandent aucune rançon et toute négociation semble inutile. Wonder Woman comprend qu'il s'agit d'une une action visant à déstabiliser le gouvernement, à soumettre le pays et que les otages vont être exécutés. Elle intervient et met rapidement les terroristes hors d'état de nuire avant de repartir.
Dans son avion invisible, elle réfléchit à la façon dont elle affronte les différentes formes de crime, le braconnage, l'esclavagisme moderne, les criminels costumés, et comment elle intervient sur les lieux d'accidents et de désastres pour empêcher le pire et apporter de l'aide à ceux qui en ont besoin.
Ayant besoin de réconfort, elle rentre à Themyscira profiter de quelques instants de sérénité. Elle se prend à souhaiter que le monde des hommes ressemble davantage à son île, là où l'harmonie entre nature et technologie et entre corps et âme a été atteinte. Elle souhaite que son rôle d'ambassadrice aide les hommes à s'améliorer. Elle va consulter sa mère, mais la reine Hippolyte porte un regard critique sur les hommes et leur monde.
Wonder Woman repart vers le monde des hommes. En Asie, une révolte pour les droits civiques éclate dans un pays dirigé par un gouvernement autocratique. Wonder Woman intervient en tant qu'ambassadrice, mais les dirigeants politiques lui demandent de quitter le pays. Alors qu'elle est sur le point de protester, son attention est attirée par des bruits venant du dehors ; les chars d'assaut avancent sur la foule...
Comme dans les autres histoires de cette collection, le personnage principal est confronté à un problème qu'il ne peut régler avec ses poings. Wonder Woman, malgré sa volonté de bien faire, se heurte à l'incompréhension, à la méfiance et parfois à l'agressivité de ceux qu'elle veut sauver. Réalisant que ses méthodes ne fonctionnent pas, Diana va demander conseil à Clark Kent (c'est la seule histoire de cette collection où un autre super-héros apparaît) et comprendre que se fondre parmi les hommes pour mieux les comprendre va lui permettre de continuer son combat pour la vérité.
La Wonder Woman de Ross, inspirée de l'actrice Lynda Carter, est magnifique. L'histoire (peut-être au détriment des émotions) met en avant le côté divin de la super-héroïne, notamment grâce à des plans rapprochés et des doubles pages époustouflantes (il faut la voir soulever un char d'assaut !). Les décors de l'île de Themyscira sont splendides. La dernière double page est d'une beauté à couper le souffle.
Cet album est un bel objet, grand format avec jaquette et papier glacé. Les remerciements de Dini et Ross et leur dédicace à ceux qui luttent pour la vérité et la liberté figurent en début de recueil, après deux pages qui reviennent sur les origines de Wonder Woman, contées par sa mère, Hyppolite, reine des Amazones. Une biographie succincte des auteurs a été ajoutée en fin de volume.
La traduction de Xavier Hanart est correcte mais elle est néanmoins perfectible en quelques endroits ; plusieurs noms propres, par exemple ("Hippolyta" pour "Hippolyte"), n'ont pas été traduits en français. Un mot a été oublié.
"Vérité triomphante" est un indispensable à la portée de tous. Graphiquement parlant, c'est peut-être le plus beau récit de la collection. Une réédition serait bienvenue.
Mon verdict : ★★★★★
Barbuz
Mon verdict : ★★★★★
Barbuz
5 étoiles : je constate que le charme de Diana a encore une fois agi à plein, encore plus magnifiée par Alex Ross.
RépondreSupprimerLe personnage principal est confronté à un problème qu'il ne peut régler avec ses poings : je me souviens bien que c'était le principe de ces récits.
Je suppose que Morrison n'a pas aimé cet album s'il l'a lu, car il n'y est pas question de sexe suggéré et le côté "girl scout" est mis en avant.
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